Un nouveau Point Vert, à Pleyber-Christ (29)

Distrivert, filiale distribution du groupe Triskalia, a ouvert le 3 octobre dernier, son nouveau Point Vert de Pleyber-Christ (29), un magasin flambant neuf et implanté sur un espace commercial attractif. Celui-ci remplace le Point Vert, installé depuis plus de 20 ans sur la commune. Un -Christ. L’ancien Point Vert était difficile à rénover et la modernisation du magasin est donc passée par une construction. Objectif : améliorer le confort et l’accueil des clients. Le Point Vert dispose d’une offre complète en produits de jardin, animalerie, habillement, alimentation des terroirs et produits agricoles. La surface de vente, de plus de 1200 m², permet de développer l’offre, avec des gammes de produits développées comme les plantes d’intérieur, l’animalerie, les fleurs, la décoration extérieure. La boutique produits des terroirs s’est également étoffée. Le magasin reste ancré sur ses valeurs de conseil et de proximité. Laurent Bathany, responsable du magasin, anime 4 conseillers, 2 embauches en CDI ayant été réalisées. Ils complètent ainsi l’équipe issue de l’ancien Point Vert, bien connue des clients Pleybériens. A cela s’ajoutera 1 saisonnier au printemps. Pour lancer la saison, des animations seront organisées les 8 et 9 novembre, à l’occasion de la foire aux vins, avec de nombreux cadeaux à la clé. Avec ce magasin, Distrivert poursuit le développement et la modernisation du réseau de magasins sur l’ensemble du territoire breton. Après l’agrandissement du Magasin Vert de Landerneau, l’implantation fin 2018 de celui de Brest Kergaradec et la construction du Magasin Vert de Saint Pol de Léon, le nouveau magasin de Pleyber-Christ confirme la volonté du groupe Triskalia de conforter sa place de leader dans le domaine du jardin en Bretagne.

HEMA dévoile sa collection pour chiens et chats

HEMA, acronyme de Hollansche Eenheidsprijzen Maatschappij Amsterdam (Compagnie hollandaise de prix standards Amsterdam) propose à ses clients, depuis 1926, « des produits qui se distinguent par leur qualité, leur design bien étudié et leur prix intéressant. L’enseigne compte actuellement 74 magasins sur tout le territoire français, plus de 700 magasins situés dans 10 pays, emploie 19000 personnes et bénéficie d’un assortiment d’environ 32000 produits et services. En cette fin d’année, elle dévoile une collection fun et colorée de jouets et de petits accessoires pour chiens et chats (gamelle en céramique, bandanas, colliers et vêtements pour chiens…), disponibles dans tous les magasins en France et sur le site internet, en livraison ou en click & collect.

Objectif 2019 pour la marque Cabaïa : collecter 30000 euros pour les animaux

Pour la 2^e année consécutive, la marque française d’accessoires fun et colorés Cabaïa s’engage pour la cause animale aux côtés de la Société Protectrice des Animaux (SPA). Cabaïa crée depuis 2 ans des packs de ses « chaussettes inséparables » (grâce à leur bouton en bois), en coton et sans coutures, en édition limitée et reverse 10 euros par produit à l’association, soit l’intégralité des bénéfices. En 2018, cette opération a permis de récolter plus de 20000 euros. Une somme qui avait permis de financer la construction d’un tout nouveau parc pour le refuge de Gennevilliers et le financement de deux enquêtes contre les élevages illégaux d’animaux. L'objectif de cette année est de réussir à collecter plus de 30000 euros grâce à une campagne Ulule qui sera lancée le 6 novembre prochain.

Colloque « Droits et personnalité juridique de l’animal » : des propositions pour améliorer la condition animale

Le colloque de La Fondation Droit Animal, Éthique et Sciences (LFDA) sur les droits et le statut juridique à accorder aux animaux s’est tenu le 22 octobre 2019, à l’Institut de France. Les interventions de spécialistes du droit et de philosophes ont initié de riches échanges sur la place des animaux dans notre société, et le régime juridique qui doit en découler. Pour Hugues Renson, vice-président de l’Assemblée nationale, qui a introduit le colloque, « défendre la biodiversité, lier le progrès humain à la considération des animaux, c’est un seul et même combat ». Lors de la première table ronde sur la Déclaration des droits de l’animal, Louis Schweitzer, président de la LFDA, a rappelé l’objectif de cette déclaration : « transposer ses articles dans le droit positif pour mieux prendre en compte les intérêts des animaux ». Pour Jean-Paul Costa, juriste, ancien président de la Cour européenne des droits de l’homme, la version actuelle de la Déclaration des droits de l'animal pourrait très bien, si cela était la volonté du législateur, donner lieu à des lois et des règlements. Afin de provoquer le débat, Olivier Duhamel, président de la Fondation nationale des sciences politiques, a posé une série de questions à Jean-Paul Costa en utilisant les arguments avancés par les opposants à la cause animale. La seconde table ronde sur la personnalité juridique de l’animal avait pour objectif de débattre de la possibilité et de la pertinence d’accorder aux animaux le statut juridique de « personne », au même titre que les personnes physiques ou les personnes morales. La philosophe Florence Burgat a cité les penseurs pour qui la sensibilité de l'animal est un argument suffisant pour lui octroyer des droits. Jean-Pierre Marguénaud, professeur agrégé de droit et spécialiste du droit animalier, a indiqué que la reconnaissance de la personnalité juridique serait conforme au progrès éthique et permettrait une plus grande cohérence du droit. La personnalisation de certains animaux existe déjà dans quelques pays. Quant à Laurent Neyret, professeur à l’université de Versailles et spécialiste du droit de l’environnement, il invite les personnes travaillant sur la personnalisation de l’animal et sur celle de la nature à collaborer. Robert Badinter, président honoraire du Conseil constitutionnel et ancien garde des Sceaux, en concluant le colloque, a suggéré, pour mieux protéger les animaux, de créer une « autorité indépendante » : « un défenseur des animaux ». Ce colloque dont l’objectif était de contribuer au débat sur les droits à accorder aux animaux a connu un franc succès. La LFDA espère que ce colloque contribuera aux réflexions pour améliorer concrètement la condition des animaux. Retrouvez la vidéo des deux tables rondes : https://youtu.be/kt6CQYUBmng

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