Aliments humides : + 28,2 % en valeur en circuits spécialisés

Selon GfK, « Le marché des aliments humides pour chien en circuits spécialisés (magasins de bricolage, animaleries, jardineries et libres-services agricoles), est certes encore petit par sa taille (5,1 millions d’euros à fin décembre 2019, chiffre au cumul annuel mobile, panel GfK), mais il est fortement dynamique. Il affiche en effet une croissance à + 28,2 % en valeur quand en volume, la tendance est tout aussi bonne : + 16 % tous circuits confondus. Cette tendance tranche avec le marché mature des aliments secs pour chien à + 4 % en valeur à fin décembre 2019, et + 3,5 % en volume, pour un marché valorisé à 362 millions d’euros ».

Un nouveau magasin Tom & Co en périphérie de Lyon

Après avoir ouvert un nouveau magasin à Nîmes (30) en janvier dernier, l’enseigne Tom & Co ouvrira les portes d’une nouvelle animalerie de 450 m2, 1620 avenue Frédéric Mistral, à Chasse-sur-Rhône (38), le 11 mars prochain. Elle sera équipée des services Dog Wash et Beauty.

La Normandise labellisée Vitrine Industrie du Futur

La Normandise, à Vire (14) fait partie des 6 entreprises à avoir été labellisée Vitrine Industrie du Futur. Décerné sur proposition d’un comité ad-hoc de l’Alliance Industrie du Futur, sur approbation de son conseil d’administration, le label « Vitrine Industrie du Futur » est attribué depuis 2015 aux industriels les plus engagés dans leur transformation. PME et ETI ou grands comptes industriels peuvent proposer leurs candidatures et se voir attribués ce label, symbole de dynamisme et de compétitivité. L’Alliance Industrie du Futur labellise La Normandise, Vitrine Industrie du Futur, « pour son plan industriel utilisant des briques de l’industrie du futur en réponse à un positionnement marché tiré par l’export mais aussi en y intégrant un volet humain prépondérant ». Dans un contexte de tension du marché de l’emploi normand, La Normandise a su utiliser les outils de l’Industrie du Futur et le réseau local pour renforcer son attractivité envers ses clients à l’export, mais également envers ses actuels et futurs collaborateurs. 650 salariés participent ainsi aujourd’hui à la transformation de leur entreprise, et proposent une maîtrise certaine de la santé et de la nutrition animale. Reconnue pour son expertise vétérinaire, La Normandise distribue ses produits à travers le monde en s’appuyant notamment sur sa localisation stratégique, à proximité du port du Havre. Quatre grands enjeux ont été identifiés par La Normandise dans leur projet de transformation : la compétition européenne, en particulier face aux pays de l’Est, la complexification croissante de l’offre, la traçabilité totale pour pénétrer le marché chinois et enfin, l’attractivité des métiers de la maintenance et de la production. Plusieurs points de la démarche de La Normandise ont ainsi retenu l’attention du jury lors de leur labellisation, dont la relation entre les enjeux stratégiques commerciaux de l’entreprise (ambition concernant le marché chinois) et la mise en place des projets de digitalisation, la mise en œuvre d’une méthodologie d’accompagnement au changement visant à réduire au maximum les contraintes «utilisateurs» qui pourraient apparaître, par la mise en place des outils numériques, et enfin la mise en réseau des acteurs de l’emploi et de la formation pour construire un outil de formation et répondre à une problématique territoriale sur un métier en tension : Technicien de Maintenance.

Les différentes actions mises en place ont permis d’accélérer le processus de transformation de l’entreprise : la transformation des processus après audit et plan d’action, en partenariat avec bpi France, l’évaluation des résultats d’une méthodologie de gestion du changement, la proposition de formation au Certificat de qualification professionnelle (CQP) aux collaborateurs, la co-construction de la formation BTS Maintenance avec les acteurs locaux. La Normandise a ainsi pu constater de nombreux résultats dont les premiers concernent le management. Les collaborateurs sont montés en compétences, les erreurs des opérateurs ont été considérablement réduites, et il a été noté que la participation active des collaborateurs a permis une acception du changement plus sereine et maîtrisée. Concernant le volet « formation », un réseau d’acteurs au service de l’emploi a été créé, un référentiel de formation déployable à l’échelle nationale a été proposé, et un vivier de techniciens formés aux besoins des industries du bocage normand est désormais opérationnel. Toutes ces actions ont été de véritables déclencheurs pour gagner en attractivité. Pour François Duquesne, Directeur Général : « La digitalisation réussie des opérations passent par l’implication de l’ensemble des acteurs et destinataires de ce changement. Qu’ils soient développeurs, utilisateurs, managers,… ils ont dû et doivent encore comprendre les contraintes des uns et des autres, se préparer et coconstruire une solution qui permettra à tous de performer. »

Bernard Vercaemst actionnaire et PDG de BSI, depuis le 3 février

Le 3 février dernier, Bernard Vercaemst a rejoint Bio Services International (BSI) en tant qu’actionnaire et PDG, afin de consolider la croissance à long terme de l’entreprise. Bénéficiant d’une expérience internationale de 30 ans dans le domaine de fonctions de direction, aussi bien dans des PME que dans des multinationales et dans divers secteurs, il occupait ces dernières années, les fonctions de PDG du groupe IPCOM, fabricant et distributeur européen de solutions d’isolation technique innovantes. Bernard Vercaemst: “Je suis très heureux et fier de rejoindre BSI. La société est un acteur majeur dans le domaine des produits de soins et phytosanitaires pour la maison et le jardin (produits préventifs, répulsifs, antiparasitaires pour animaux domestiques, produits pour étangs et piscines) et s’est fortement agrandie au cours des dernières années sous la direction de son fondateur Jan Vermeulen, grâce à un savoir-faire unique et une équipe talentueuse et motivée. Notre ambition est de devenir le partenaire privilégié de nos clients professionnels dans tous les marchés où nous sommes actifs, et de renforcer notre notoriété auprès du consommateur.“ Monsieur Jan Vermeulen, fondateur de BSI (en 1995) et directeur de la société jusqu’à présent, restera actionnaire et sera, en sa qualité de conseiller stratégique, étroitement impliqué dans le développement de BSI.

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